PARTICIPANTS
Mark Brisley
Directeur général et chef, Fonds Dynamique
Jennifer Stevenson
Vice-présidente et gestionnaire de portefeuille
PRÉSENTATION
Mark Brisley : Vous écoutez On The Money de Fonds Dynamique, une série de balados qui vous donne accès à certains des portefeuillistes les plus aguerris en gestion active ainsi qu’à des maîtres à penser dans le domaine de la finance. Lors de nos rencontres, nous posons à nos invités des questions pertinentes afin de connaître leur point de vue sur la conjoncture et de recueillir leurs conseils sur la manière de composer avec le contexte actuel.
Mark Brisley : Bienvenue à un autre balado On the Money. Je suis Mark Brisley, chef de Fonds Dynamique. Qu’adviendra-t-il de la demande maintenant que le monde émerge de la COVID-19 et des restrictions qu’elle a imposées? Quel sera l’effet des changements de comportements? Les gens reprendront-ils leurs anciennes habitudes? La production d’énergies renouvelables et durables s’accélérera-t-elle? S’il y a un secteur qui peut inspirer des réponses à ces questions, c’est bien celui de l’énergie.
Mon invitée d’aujourd’hui est établie à Calgary, en Alberta, au cœur du secteur canadien de l’énergie. Elle entretient des liens étroits avec les joueurs de l’industrie énergétique et se rend régulièrement dans d’autres régions importantes qui sont des plaques tournantes de ce segment du marché. Jennifer Stevenson possède une vaste expérience dans le domaine énergétique, où elle évolue depuis près de trois décennies. Elle adopte une approche mondiale pour ratisser très large, de manière à dénicher des sociétés de la plus grande qualité qui sont dirigées de main de maître et qui ont un modèle d’entreprise viable à long terme.
L’engagement de Jennifer à gérer activement les portefeuilles sous sa gouverne et sa vaste expérience lui permettent de tirer parti de la complexité inhérente du secteur énergétique pour investir dans divers segments de la chaîne d’approvisionnement mondiale, saisir les occasions qui se présentent dans certains créneaux et bénéficier des écarts de prix. Jennifer, nous sommes heureux de discuter avec vous aujourd’hui. Je vous souhaite la bienvenue!
Jennifer Stevenson : Je suis très heureuse de m’entretenir avec vous, Mark. Merci.
Mark : Il serait un euphémisme de dire que les prix du pétrole ont connu un épisode très tumultueux au printemps dernier, avant de se stabiliser durant l’été. Cela semble indiquer que le marché est relativement équilibré. Pouvez-vous nous expliquer comment le rapport entre l’offre et la demande a contribué à maintenir l’équilibre des prix pendant une période considérée comme très bruyante?
Jennifer : Il s’agit d’une question très pertinente. Dire que ce fut un printemps tumultueux constitue certainement un euphémisme. En effet, le cours du West Texas Intermediate (WTI) est brièvement passé en territoire négatif en raison de l’intense spéculation financière dont ont fait l’objet les contrats à terme sur le WTI. Ceux qui possèdent de tels instruments doivent prendre possession des marchandises quand le contrat vient à échéance. Or, ce n’est pas le cas des autres contrats à terme sur le pétrole, comme le Brent au Royaume-Uni. Ainsi, à moins qu’il dispose d’installations de stockage à Cushing, en Oklahoma, un spéculateur doit absolument vendre le contrat avant sa date d’expiration.
Voilà ce qui explique la situation mouvementée au printemps. La stabilité actuelle s’explique par les baisses de production importantes de la part des membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et de la Russie (OPEP+), la diminution considérable des dépenses en capital des pays hors OPEP, le net ralentissement de l’activité dans le secteur de l’énergie et l’offre beaucoup plus faible en résultant. La demande a commencé à se rétablir quand les premières mesures de confinement ont pris fin. Grâce aux baisses de production, surtout celles de l’OPEP+, de même qu’au raffermissement de la demande, le rapport entre l’offre et la demande est devenu plus sain, ce qui a favorisé la stabilité des prix du pétrole.
Mark : Même sans tenir compte de la réouverture apparente des économies à l’échelle mondiale et du fait que les gens sortent de nouveau de chez eux tout en reprenant certaines habitudes, mais considérant, en tout cas, qu’ils retournent au travail et se déplacent de nouveau, quoique de façon limitée, voyez-vous des répercussions durables ou un changement dans les comportements de consommation découlant de la pandémie? Y aura-t-il une incidence permanente sur la demande?
Jennifer : Oui. À l’heure actuelle, les chiffres montrent que les effets se font surtout sentir sur la demande de carburéacteur. Avant la pandémie, nous consommions quelque 8 millions de barils de carburéacteur par jour à l’échelle mondiale, et l’offre totale de pétrole se chiffrait à 100 millions de barils par jour. C’est beaucoup. Nous utilisons aujourd’hui environ la moitié de ces quantités. Il s’agit d’un écart considérable. Je crois que la situation se rétablira à plus long terme. Quand on observe les données des compagnies aériennes et celles de la Transportation Security Administration à propos du nombre d’avions qui volent, on constate que les avions-cargos décollent, mais que les aéronefs de passagers restent cloués au sol.
Je pense toutefois que les consommateurs voyageront moins, d’où la reprise plus lente du secteur aérien, qui souffrira particulièrement de la demande à plus long terme.
Mark : Il y a si longtemps, on dirait, que les prix du pétrole oscillaient aux alentours de 60 $ le baril. Vu les niveaux où ils se situent actuellement, avez-vous des préoccupations à l’égard des flux de trésorerie ou des dividendes des producteurs, particulièrement ceux sur lesquels vous misez?
Jennifer : Les fluctuations des prix ou leur stabilisation à des niveaux plus bas soulèvent toujours des craintes chez les investisseurs. Nous mettons beaucoup l’accent sur les prix. Nous les surveillons de près, car nous ne voulons pas avoir de mauvaises surprises en ce qui concerne notamment les flux de trésorerie et les versements de dividendes. Nous n’avons pas d’inquiétude en ce qui concerne les sociétés auxquelles nous participons. Du côté des producteurs, nous avons un penchant pour les pipelinières, qui continuent d’accroître leurs dividendes.
En fait, un seul de nos joueurs en portefeuille a abaissé son dividende, le producteur canadien Suncor. La société avait plusieurs raisons d’agir ainsi. Cette mesure lui a notamment permis de réduire son seuil de rentabilité, qui se chiffre maintenant dans les 30 $, dividende inclus, ce qui constitue une bonne protection contre toute autre fluctuation des prix. La diminution du dividende constituait un événement ponctuel. L’entreprise prévoit recommencer à faire progresser son dividende à long terme à mesure que la situation s’améliorera et se stabilisera.
Mark : Nous avons déjà discuté de la stabilité des prix, des changements d’habitudes des consommateurs et de l’incidence des flux de trésorerie des producteurs sur les dividendes. La possibilité d’une deuxième vague représente une autre préoccupation majeure depuis le début de la crise sanitaire. Certains prétendent qu’on y assiste déjà. Malheureusement, des signes indiquent que la COVID-19 fait un retour en force en Europe. L’OPEP et d’autres producteurs importants ont-ils élaboré des plans sur la manière d’ajuster l’offre en cas de seconde vague épidémique?
Jennifer : Oui, l’OPEP déploie beaucoup d’efforts en ce sens. Elle a d’ailleurs tenu sa rencontre mensuelle hier. Chaque mois, des ministres faisant partie de son comité ministériel conjoint de suivi (JMMC) se rassemblent. Il est ressorti de la dernière réunion que le respect de l’accord sur la diminution de production revêt une importance capitale. Les parties à l’entente qui dérogent à leurs engagements doivent compenser leur production excédentaire. Elles avaient jusqu’à la fin de septembre pour le faire, mais elles bénéficient maintenant d’un sursis jusqu’à la fin de décembre.
Par ailleurs, les membres du comité portent une attention particulière à la demande, c’est-à-dire à son portrait, aux messages qu’elle envoie et à la tendance qu’elle suit selon les données quotidiennes qui sont publiées. Ils ont mentionné que l’entente conclue par l’OPEP+ prévoyait un assouplissement des baisses de production en décembre dans le but d’augmenter l’offre de pétrole. Néanmoins, si la demande n’est pas au rendez-vous en raison d’une deuxième vague de COVID-19, les diminutions requises demeureront en vigueur. Les ministres discutent donc déjà de cette probabilité.
Ils ont également envisagé la nécessité d’inclure dans les discussions davantage d’intervenants, pas seulement les ministres des pays membres de l’OPEP. Ils devraient en reparler dans le cadre d’une réunion d’urgence en octobre. Ils se concentrent énormément sur la gestion de l’offre, car les prix du pétrole doivent demeurer raisonnables pour ne pas mettre en péril la survie économique des nations qui adhèrent à l’organisation. Tout dépend de la demande, qui souffrira d’une deuxième vague. L’OPEP a donc assurément des plans à cet égard.
Mark : Changeons un peu de sujet. Vous avez relevé vos positions dans des entreprises d’énergie renouvelable cette année. Habituellement, vos fonds ne participent pas beaucoup à ces sociétés. Pourquoi avez-vous procédé à cette modification? Les énergies renouvelables font énormément parler d’elles, surtout dans les médias. S’agit-il d’une mesure tactique de votre part ou avez-vous l’intention de miser davantage sur des joueurs de ce domaine dans l’avenir?
Jennifer : C’est une excellente question. Je n’ai pas agi de manière tactique. Je ne me tourne pas vers les énergies renouvelables en raison des problèmes touchant le carburéacteur, par exemple. Le coût des énergies renouvelables diminue nettement depuis 12 mois, voire depuis quelques années. Les projets des entreprises de ce secteur rapportent maintenant autant que ceux des sociétés d’hydrocarbures.
Il ne s’agit donc pas d’un changement tactique, mais plutôt structurel. Nous pourrons ainsi recruter des entreprises d’énergie renouvelable qui affichent une forte croissance en raison de la demande accrue dans ce segment du marché. Grâce à ces positions et à celles que nous avons déjà dans des sociétés d’exploration et de production ainsi que dans des pipelinières, nous obtenons le meilleur des deux mondes.
Mark : Au chapitre des énergies renouvelables, il semble que certaines des principales sociétés intégrées accroissent leurs investissements dans des projets visant à réduire leur empreinte carbone. Par exemple, BP a récemment modifié son image de marque à cet égard. Comment les investisseurs du secteur énergétique perçoivent-ils ces initiatives?
Jennifer : C’est drôle, car cette semaine, dans le cadre de sa journée de l’investisseur, BP a eu besoin de trois jours et de quinze heures de présentation pour en parler. Il y a de nombreuses années (trois chefs de la direction se sont succédé depuis), British Petroleum revampait son image de marque avec beaucoup de faste et devenait Beyond Petroleum (ère postpétrole). Cependant, les énergies renouvelables sur lesquelles elle avait décidé de miser à l’époque n’ont rien rapporté. Elle a donc rebroussé chemin pour revenir à des activités profitables.
BP prend aujourd’hui un nouveau tournant, passant d’une société énergétique intégrée à une société d’énergie internationale. Elle a annoncé en grande pompe qu’elle effectuait certains investissements dans Ørsted et un parc éolien flottant. Cela dit, la façon dont le monde des placements énergétiques voit ces initiatives dépend entièrement des projets et de leurs résultats, de leur compatibilité avec la stratégie et de leur potentiel de réalisation, car BP prend un virage à 180 degrés. En effet, l’entreprise prévoit réduire de 40 % sa production d’hydrocarbures au cours des années à venir pour tout réinvestir dans des énergies renouvelables.
Par ailleurs, Shell a dû abaisser ses dividendes, étant donné que son bilan s’avère plus lourd que celui de sociétés comme Total. Depuis des années, ces deux entreprises investissent dans des énergies renouvelables qui portent des fruits. Leurs perspectives de croissance sont impressionnantes. Toutes deux participent à un large éventail de projets d’énergies renouvelables. Je pense que les investisseurs sont en mesure d’accorder le mérite aux entreprises qui en sont dignes, comme Total et même Shell, tout en se méfiant de celles qui doivent encore faire leurs preuves.
Je ne peux pas vous dire si BP sait rentabiliser les énergies renouvelables. Elle a fait beaucoup de bruit, mais reste à voir ce que cela donnera. Je ne suis pas prête à y investir pour le moment. Tout est réellement une question de rendements et de projets précis à cette étape-ci.
Mark : Chose certaine, la discussion entourant les énergies durables et renouvelables se poursuit. En avril, quand tout cela a débuté ou quand il y avait beaucoup de mouvement, les projecteurs étaient définitivement braqués sur la Russie, les États-Unis et l’Arabie saoudite. Or, il semble maintenant que l’attention de la Russie et des États-Unis se porte sur les élections américaines. Quel est votre point de vue sur les liens entre ces trois mégaproducteurs d’énergie et sur les récents événements? Quelles sont leurs perspectives d’avenir?
Jennifer : La Russie, les États-Unis et l’Arabie saoudite forment une sorte de triade d’intrigues, du moins en ce qui a trait aux marchés pétroliers. En avril, la Russie et l’Arabie saoudite se livraient une bataille au sujet des baisses de production. Après avoir dit « Regardez bien ça! », l’Arabie saoudite a inondé le marché de pétrole pendant deux mois. Le président Trump avait alors résolu de réunir tout le monde afin d’obtenir une entente sur des réductions orchestrées. Quelle triade unique!
La situation avait soulevé des préoccupations. On se demandait si la Russie allait rester dans l’OPEP+. En effet, alors que les deux pays menaient le bal ensemble, l’Arabie saoudite a joué la carte du pouvoir et fait fi de la Russie. Cette dernière allait-elle quitter le navire? Répondons à cela en revenant à cette semaine et à la réunion mensuelle des ministres de l’OPEP. Au début de la rencontre, la Russie a dit que sa politique et son plan consistaient à demeurer dans l’organisation et à participer à ses décisions jusqu’en 2035. Il s’agit là d’une première pour la Russie, qui ne se prononce jamais sur quoi que ce soit à aussi long terme.
La Russie n’est pas du genre à parler négligemment. Il s’agit donc d’un engagement assez ferme. Les deux pays gèrent maintenant ensemble l’offre de pétrole des membres de l’OPEP+. Ils veilleront à ce que ceux qui s’engagent à réduire leur production d’un certain volume le fassent, sans quoi ils forceront ces tricheurs, comme ils les appellent, à procéder rétroactivement à des baisses accrues afin de respecter l’entente.
Le ministre saoudien du pétrole, le prince Abdulaziz bin Salman, a près de 70 ans et possède une énorme expertise dans le pétrole et le gaz. Il sait donc de quoi il parle. Cet homme puissant, très scolarisé et expérimenté a participé à la conférence de presse tenue hier après la réunion ministérielle. Il y a rarement une conférence de presse à la suite de ces rencontres, contrairement aux grandes réunions de l’OPEP, auxquelles participent 50 000 journalistes. Lors de la conférence de presse, le prince Salman a dit ceci (notre traduction) : « Le marché doit comprendre que nous nous montrerons intransigeants à l’égard des tricheurs qui ne déclarent pas les vrais volumes. Ces tactiques qui consistent à surproduire et à camoufler les infractions ont souvent été utilisées par le passé, mais toujours sans succès. Ceux qui s’en servent n’obtiendront rien et porteront atteinte tant à notre réputation qu’à notre crédibilité. »
Les Émirats arabes unis prennent sûrement bonne note de cet avertissement. Le prince a ensuite poursuivi en prenant pour cible les transactions financières sur le pétrole. « Nous aurons constamment le marché à l’œil. Nous voulons que les négociateurs sur les parquets réagissent aussi vite que possible. Nous allons nous assurer que ceux qui spéculent fassent plus que s’en mordre les doigts. » N’oublions pas que ces propos ont été formulés par le prince Abdulaziz bin Salman, qui prend très au sérieux la gestion des stocks et des prix, dont les mouvements sont dictés par l’offre et la demande.
En collaboration avec la Russie, il s’occupe de la demande pour le groupe de l’OPEP+. Il passe le message à ceux qui s’amusent à prendre des positions vendeur sur les cours pétroliers au sein des marchés des capitaux. À son avis, le groupe gère la situation de façon suffisamment rigoureuse pour empêcher ces transactions. D’un côté, l’OPEP+ se montre très encourageante. De l’autre côté de l’offre, il y a les pays non membres de l’OPEP, dont les États-Unis représentent la plus grosse part. On y trouve des sociétés qui se font dire explicitement par leurs actionnaires qu’elles ne peuvent pas augmenter leur dette, ni trop dépenser, qu’elles n’ont pas besoin de prendre de l’expansion et qu’elles doivent faire de l’argent.
Les dépenses en capital ont diminué considérablement, tout comme la croissance de la production. Cette pièce s’imbrique dans les autres aussi. Ainsi, les relations de la triade Russie-Arabie saoudite-États-Unis ont changé pour le mieux, ce qui ne fait qu’accroître l’optimisme à l’égard de l’offre. Nous n’avons donc plus qu’à nous préoccuper de la demande. Comme nous l’avons dit, nous avons assisté à une reprise en V accompagnée d’une stagnation du côté de l’essence et du diesel. Le carburéacteur demeure le seul hic pour l’instant. Or, l’OPEP est en mesure de faire face à ce genre de problème et aux répercussions qu’une potentielle deuxième vague de COVID-19 pourrait avoir sur la demande.
Mark : Vous parlez sûrement de ce qui constituera manifestement une évolution de la situation et de l’importance de gérer activement la participation à l’énergie en général. Merci pour cette conversation fascinante et informative. Je vous remercie de nous avoir fait part de vos observations.
Jennifer : Ce fut un plaisir de discuter avec vous. Merci pour l’invitation.
Mark : Merci à tous d’avoir écouté cette édition de On The Money de Fonds Dynamique.
Orateur: Vous venez d’écouter un autre balado On the Money de Fonds Dynamique. Pour en savoir davantage sur Dynamique et sa gamme complète de fonds, communiquez avec votre conseiller financier ou visitez notre site Web à dynamic.ca.
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